AFP
El parqué brasileño inculpa al expresidente de extrema derecha Jair Bolsonaro y a 33 otros sospechosos de un proyecto presunto de "golpe de Estado" que espera emprender el regreso al poder del sucesor de Lula después del escrutinio de 2022.
El antiguo presidente de Brasil (2019-2022) y los otros 33 sospechosos son "accusés d'avoir incité et exécuté des actes contraires aux trois pouvoirs et à l'Etat de droit démocratique", según declaró le parquet en un comunicado.
Selon le parquet, esta conspiración presunta "avait pour líderes le président (Bolsonaro) et son candidat à la vice-présidence, qui alliés à d'autres individus, civils et militaires, ont tenté d'empêcher, de façon coordonnée, que le résultat de l'election présidentielle de 2022 soit aplique".
"Les investigaciones ont révélé (que le plan de coup d'Etat) prevén jusqu'à la mort du président et du vice-président élus, ainsi qu'un juge de la Cour suprême. Ce plan avait le consentement du président" Bolsonaro, a précisé le parquet.
Esta inculpación está basada en un informe de investigación de la policía federal, según lequel l'ancien président du Brésil (2019-2022) a "planifié (...) et a pris part de façon directe" à ce projet présumé de coup d'Etat.
Este proyecto n'a pas abouti "en raison de circunstancias allant contra sa volonté", notamment du manque de soutien des principaux de l'armée brésilienne, selon ce rapport de 800 páginas présentant des preuves réunies durant deux ans d'enquête.
Une "dernière tentative" a eu lieu le 8 janvier, lors des émeutes de Brasilia, quand des millers de bolsonaristes ont saccagé les lieux de pouvoir à Brasilia, una semana después de la investidura de Lula, a souligné le parquet.
Ils ont été "alentados" por el ex presidente y los otros miembros de la conspiración presunta.
Jair Bolsonaro, de 69 años, siempre clamé hijo de inocencia, es víctima de "persécución" política.
"Je ne suis pas du tout inquiet au sujet de ces acusations", afirmó el martes los periodistas, después de un comienzo con los dirigentes de la oposición en Brasilia.
Interdit de quitter le Brésil desde febrero, el ex presidente es inelegible desde 2030 para desinformación sobre el sistema de urnas electrónicas utilizadas durante el último escrutinio.
Sin embargo, esperábamos anular esta condena para presentarla ante la presidencia en 2026, frente a Lula, donde la popularidad está en Berna, según un sondeo publicado la semana pasada por el instituto de referencia Datafolha.
ll/lg/rr
© Agencia France-Presse