AFP
La ministra italiana Giorgia Meloni aseguró a Ucrania que son soutien sans faille lors d'une réunion à Cernobbio (nord) con el presidente Volodymyr Zelensky, que reclame davantage d'armes à un moment où Moscou avance sur le front est.
Este encuentro se celebró en el foro económico de la Casa Europea: Ambrosetti, que debutó en las riberas del lago de Come, y participó también del primer ministro hongrois, Viktor Orban.
"¡Nous ne devons pas baisser les bras!", lanzó la señora Meloni devant un parterre d'entrepreneurs, s'adressant aux alliés de Kiev mais aussi à una opinion publica qui est, selon ella, "légitimement inquiète de la guerre".
Como reafirmación regular de su fuerte solidaridad, muchos gobiernos se enfrentan a las corrientes de opinión más comprensivas de la guardia de Moscú, notamment à l'extreme droite, alors que la guerre s'enlise.
Giorgia Meloni a averti que laisser tomber l'Ukraine "n'apportera pas la paix, mais le caos" et des conséquences économiques "plus graves que ce qu'il en coûte aujourd'hui pour soutenir l'Ukraine".
Aider l'Ukraine à se defendre contra son puissant voisin a créé les condition d'une "impasse" dans l'offensive russe permettant des pourparlers de paix, at-elle fait valoir.
Si Italia mantiene firmes las sanciones contra Moscú y dispone de armas en Kiev, el resto se opone a su uso en territorio ucraniano, contra la mayoría de los países europeos.
Una brecha en el frente de los aliados europeos de Kiev que n'a pas manqué d'irriter al jefe de la diplomacia europea Josep Borrell, también presente en el foro.
"Pourquoi l'Italie ne permet-elle pas à l'Ukraine d'utiliser les armes qu'elle lui fournit pour cibler les bases russes à l'intérieur du territoire russe?", s'est-il interrogé.
Commentant le discours de Mme Meloni, il a declararé que "ce sont de belles paroles, mais il vaudrait mieux permettre à l'Ukraine de se défendre efficacement, car sinon la Russie détruit l'Ukraine en toute impunité, autant qu'Israël détruit Gaza ".
- "Paz justa" -
M. Zelensky s'est montré néanmoins satisfait de l'entretien: "je remercie Giorgia et le peuple italien pour leur soutien et leurs junctions conjoints en vue de rétablir une paix juste", at-il écrit sur X, postant une video de leur encontrarse casualmente.
Después de una visita a Alemania, cuando participó en la reunión de soutiens internacionales de Kiev y se encontró con el canciller Olaf Scholz, M. Zelensky llegó vendredi velada en Cernobbio.
Kiev reclame à ses alliés la levée des restrictions pour lui permettre de frapper en profondeur sur le sol russe des cibles militaires jugées "légitimes", como las bases aéreas de où décollent les avions bombardant l'Ukraine.
El encuentro de Giorgia Meloni con M. Zelensky busca asegurar Ucrania en la continuidad de Italia en el momento en que uno de los socios de la coalición de derechos y extrema derecha, Matteo Salvini, está enfrentado a todos Incursión de Kiev en territorio ruso.
Interrogé sur ces réticences lors d'un entretien avec plusieurs médias italiens, M. Zelensky afirmó que las relaciones con Roma ne posaient aucun problème et qu'il "préparait la conférence sur la junction" prévue en 2025 en Italia.
"Avec des conférences sur la junction et des Accords Concrets, nous renforçons l'économie et nous nous rapprochons de la fin de la guerre", at-il fait valoir.
- No se puede cortar el fuego -
Sin embargo, para lograr este objetivo, il a relevé que c'était au président russe Vladimir Poutine de "faire les premiers pas" car "c'est lui qui a commencé la guerre": "il devrait arrêter les bombardements et montrer au monde qu 'il veut mettre fin à la guerre".
El primer ministro hongrois, Viktor Orban, opuesto a la ayuda occidental de Ucrania y cerca del Kremlin, avait réitéré vendredi ses appels à un cessez-le-feu, aussitôt rejetés par M. Zelensky pour les mêmes raisons.
M. Orban está listo para una eventual reunión con el presidente ucraniano en Cernobbio, pero finalmente este encuentro no está en mi lugar.
"Beaucoup de gens parlent de cessez-le-feu en ce moment" mais Vladimir Poutine n'a jamais tenu ses engagements passés de faire taire les armes. A cada vez, "ils ont recommencé à nous tuer sur la ligne de contact", respondió M. Zelensky.
"Nosotros no podemos aceptar los ultimátums sobre la cesión del 30% de nuestro territorio y de nuestra población y perdonar las masacres", un tramo del presidente ucraniano que abandonó a Cernobbio después de conocer a muchos dirigentes de empresas.
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